Agbé (AGBETA OYO)
MES MIRES et les ENJEUX d'une prise de CONSCIENCE
Remercier du REVERS de la MAIN un BIENFAITEUR, est CONTRE-NATURE.
Aucun CONCEPT n’est à proprement dire, élaboré pour SERVIR la MASSE. Il est élaboré TOUJOURS à des FINS PERSONNELLES.
Ainsi, mes Révélations ici, sont placées sous le SCEAU COSMIQUE d'AMOUR... Afin qu'elles ne soient dévoyées pour SERVIR de BAS DESSEINS.
lundi 19 avril 2010
dimanche 7 décembre 2008
MISE A PLAT POUR UNE AUTRE VOIE POLITIQUE A VISAGE HUMAIN.
Il y a quatre ans Jour pour Jour, débuta cette péripétie annonciatrice de profonds changements dans ma Vie d’Homme. C’était le 06 Décembre 2004, Jour de naissance de mon fils Thao Davi Noël, (Principe « double » de sa sœur DAËNA) . J’ai toujours assisté à toutes les naissances de mes enfants. Pour la naissance de Thao, c’est une gageure insurmontable pour mon faible entendement du moment. Alité et pris dans un tourbillon de malaises indescriptibles, je n’avais que mon discernement psychique pour me guider. Ce dont je souffrais ne relevait d’aucune médication thérapeutique classique. « AGBEBLOU » ! Ce vocable mystique s’IMPOSAIT à ma CONSCIENCE. Grelottant d’une forte fièvre, je ne peux que me résoudre à « RUSER » pour « GAGNER » du temps, afin de mieux CERNER les fondements de cette NASSE OCCULTE qui m’entoure. Rien que par le vocable « AGBEBLOU » qui s’imposait, je déduisais de mes analyses les pistes à explorer. Qu’est-ce donc encore ces défis ? Je ne peux m’adresser comme par le passé à un AVERTI de Haut Rang (Le Roi de Kétou) pour un soutien quelconque comme il le fit pour N.S. lors d’une ATTAQUE de FUSIL INVISIBLE. Et puis, c’est d’un autre temps… Me voilà confronté seul à cette GAGEURE à démêler. Gagner encore du temps afin de trouver des failles à exploiter. Inlassablement, je répondais à la famille qui me pressait de faire appel au Docteur : « Je ne souffre d’aucune maladie susceptible de me faire conduire à l’hôpital ».
Les jours passaient et je suis toujours dans le même état de faiblesse, mais moins les montées de fièvre. En passant le cap des 7 jours toujours dans cet état, je compris que ce n’était pas une maladie qui m’entraînera dans la mort. Fort de cette vérité qui est mienne, je tenais tête à la pression de la famille tout en les rassurant. Vers les « PROFONDEURS » insoupçonnées de notre existence d’Hommes, la Prudence est toujours de mise pour celui qui sait. Le bout d’homme de fiston et sa maman sont rentrés de la maternité. Je me suis refusé d’avoir contact avec lui, par précaution. Ne sachant en réalité à quoi je suis confronté. Un peu avant noël, la nuit du 23 décembre, je reçois de nouveau la « Visite de DADA GBEHANZIN », avec la même « DEMANDE ». Mon « NON » catégorique d’avant le 06 décembre qui me CLOUA au lit, céda avec prudence la place à un astucieux : « Laissez-moi encore un peu de temps de réflexions ». « Prends ton temps, mais je veux avoir ton consentement, je reviendrai ». Ma réticence n’est dictée que par le dégoût ressenti lors du dernier remaniement gouvernemental en 1993 du Président Nicéphore Soglo. J’étais pressenti pour en faire partie et avoir en charge, le Ministère de la Culture. Il fut trompé par l’ex- Président Emile D. Zinsou et dirigé sur une fausse piste politique dans un rapport qui lui brandissait l’épouvantail AZONHIHO D. Martin. … (à suivre)
05/01/2009
… Et ce n’est pas Fidèle Edoh Ayikoué qui me démentirait pour sa « compensation à la tête de l’ORTB », ni le Colonel devenu Général peu avant la remise du Pouvoir d’Etat par M. Kérékou en Avril 2006.
L’adage Yoruba se trouve une fois encore justifié : « Ilé ni Kou woua ». C’est de chez toi, que se justifie « ta mise à mort ». Certes, la calomnie de Fidèle E. Ayikoué n’a d’égale que le mutisme du Colonel et Emile D. Zinsou, en habile stratège tirait les ficelles dans l’ombre. S’il est dit que tous trois sont de Famille de mon côté, indiscutablement, je me retrouve mal logé. L’aîné, mon oncle maternel, Fidèle et Martin, mes beaux-frères. C’est dans ce climat d’intrigues politiques qui me dégoûta que je me fis une RAISON de mise à l’écart des choses politiques à l’africaine. S’il est vrai que l’ex-Président garde une dent contre le Colonel (après le coup d’état militaire), il est certain que tous les Coups sont permis pour des règlement de comptes sur fonds politiques. C’est ainsi qu’en PISTANT le Colonel en France depuis l’Ambassade du Bénin, en compagnie d’un Ponte du PCB, le Conseiller (Emile D. Zinsou, l’ex-Président) du Président Nicéphore Soglo découvre mon existence. Si le Colonel après sa libération par le Président Soglo, il s’est rendu en France pas chez une de ses femmes, et qu’il se retrouve avec moi durant un mois, c’est que sûrement « il doit préparer un mauvais coup ». C’est un mauvais souvenir qui hantait l’ex-Président. Il se souvenait certainement de sa propre chute du Pouvoir par les Militaires après s’être rendu en France pour demander une Aide Financière et revenant Bredouille. Il y a longtemps que je ne résidais plus sur le territoire et les échos politiques, en réalité n’étaient pas de mon pain quotidien. Ayant cerné la stupidité humaine, la convoitise et sa cohorte de Bêtises humaines, j’ai décidé de descendre sur Cotonou et d’entendre Fidèle Edoh Ayikoué. Devant son grand-frère, le mari de ma grande-sœur, j’ai voulu comprendre le pourquoi de ses médisances contre ma personne. Je suis SERVI au-delà de ce que je prétendais connaître de la Famille. Pour moi, plus de doute. Je dois me faire une raison. J’ai refermé cette page en rendant Hommage à l’ex-Président Justin T. Ahomadégbé (Conseiller et Consultant) du Président Nicéphore SOGLO). Tout comme le Président Emile D. Zinsou, le Président Justin T. Ahomadégbé sont de Famille. Ni l’un ni l’autre, ne m’ont jamais vu mais, tous deux, me connaissent de Nom. Que voulez-vous ? Nous sommes d’une grande Famille et le jeu des alliances ! Nul ne peut prévoir où il conduit. C’est avec ce souvenir de dégoût des affaires politiques que j’ai affronté Dada Gbéhanzin et, qui aurait pu me coûter la VIE. Je sais exactement ce que je ne veux pas : C’est vivre étiqueté, répertorié, calibré, déshumanisé et impudique… et puis 1993 est un lointain souvenir. Même vivace, c’est quand-même d’un autre temps. La Vie pour moi suivait son cours tranquillement. Je ne peux savoir quand et où je devrais impérativement donner une réponse plausible. J’ai mis le temps et la réflexion pour m’imposer plusieurs scénarios sans commettre le crime de lèse Majesté.
Dada Gbéhanzin a tenu à sa promesse de revenir chercher Sa Réponse. Ainsi, dans la nuit du 02 au 03 janvier 2005, accompagné par mon illustre ancêtre, qui se tenait muet à ses côtés, Il m’exposa Ses désirs. Je ne pouvais que l’écouter tout en passant au crible les implications de ce qu’Il me demandait. Et soudain, je n’ai pu m’empêcher de demander à quoi rimait cette visite à deux ? Ainsi, tu seras moins craintif en me faisant CONFIANCE. Est-ce trop te demander aujourd’hui ?
Je consentais, effectivement eu égard à mon passé que c’était la moindre des choses à faire pour SERVIR mon Père, notre DADA. Il me confia TOUT ce que je devais disposer pour mener à bien « cette MISSION d’une Haute Importance ». Les dés sont Jetés. Patiemment, j’ai attendu qu’Il me donne le top de la mise en route. J’ai averti MA MAISON (OUIDAH) sans trop de détails de ma MISSION. C’est ainsi qu’aux premiers jours du mois d’avril 2006, je suis descendu à Cotonou, 3 jours avant l’Investiture du Président Boni Yayi et suivre de LOIN les cérémonie. Ce qui justifia aussi ma présence à Abomey auprès du Roi HOUEDOGNI BEHANZIN, lors de la Commémoration du Centenaire de la Mort du Roi BEHANZIN en décembre 2006, et la Réception du RETOUR des Dépouilles du Prince Wouanilo.
Le RESTE demeure une affaire d’ETAT qui sort du cadre de ce Blog.
Sachez seulement que c’est avec un cœur léger que j’ai regagné les miens, le 17 Décembre 2007 après 20 mois d’absence du territoire français.
vendredi 14 novembre 2008
ORIGINES
A nos "ORIGINES", ce que nous connaissons aujourd'hui comme étant la Mort, n'existait pas.
C'est à cause du Remerciement du Revers de la Main envers un Bienfaiteur, que le Monde se SCINDA.
Les Hommes avaient eu le TEMPS de tout CODIFIER et de se METTRE à l'Abri de certains ABUS de CONSCIENCE. Dieu, n'y est pour RIEN ou du moins pour ce qu'on laisse entendre.
C'est à cause du Remerciement du Revers de la Main envers un Bienfaiteur, que le Monde se SCINDA.
Les Hommes avaient eu le TEMPS de tout CODIFIER et de se METTRE à l'Abri de certains ABUS de CONSCIENCE. Dieu, n'y est pour RIEN ou du moins pour ce qu'on laisse entendre.
"CERNONS LA PROFONDEUR DE CES ARCANES"
LA TRILOGIE
Yêkou-Losso (Yêkou-dolô)
La Mort (Yêkou) DICTE SA LOI pour se MAGNIFIER.
lundi 10 novembre 2008
samedi 19 avril 2008
ABIKOU-AZIZA
ABIKOU-AZIZA
Deux étapes de notre potentialité humaine liées à notre EVOLUTION MYSTIQUE et OCCULTE. (L'Afrique ou l'Humanité des Profondeurs.)
MES LIBATIONS... (Alcool et Eau).
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